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8. Les pentes de l’ouest
Fiche
d'identité
Communes concernées : Saint-Louis, Saint-Leu, Trois Bassin, Saint-Paul
Unités de paysages
locales
8b. Les mi-pentes de l’ouest
8c. Les pâturages des hauts de l'ouest
8d. La forêt des Hauts de l'ouest
8e. Les branles d'altitude
des Hauts de l'ouest
Le littoral balnéaire de l’Ouest
Le plus important littoral de l’île, sec, largement déployé sur la côte Ouest du Cap La Houssaye à Saint-Leu et tourné vers le lagon.
Les mi-pentes de l’Ouest
De plus en plus consacrées à la culture de la canne et soumises à une forte pression foncière.
Les pâturages des hauts de l'Ouest
À partir de 900 m d’altitude, au-dessus de la route Hubert-Delisle, ils sont modelés par les élevages bovins, rappelant par endroits des paysages de montagne européens.
La forêt des Hauts de l'Ouest
Elle est dominée par les tamarins des hauts, sujette aux risques incendies
Les branles d'altitude des Hauts de l'Ouest
À partir de 1 900 m d’altitude, ils forment un paysage de landes où la végétation se raréfie, bordant les impressionnants cirques de Mafate et de Cilaos.
Caractéristiques
paysagères
Une morphologie littorale riche dans ses variations
Des sites des hauts particulièrement remarquables
Un trait de côte contrasté
Le bord de mer lui-même offre des ambiances très contrastées.
De Trois-Bassins à Piton Saint-Leu, il présente des franges rocheuses et sauvages de basalte sombre et rugueux, sur lesquelles s’écrase la houle du grand large. La côte sauvage et préservée est ponctuée d’une urbanisation diffuse : littoral de Trois-Bassins à Pointe des Châteaux, Pointe au Sel et côte des Souffleurs à Piton-Saint-Leu.
À l’Hermitage les-Bains, la Saline-les-Bains et à Saint-Leu, les plages forment de longues franges de sable blanc ou noir alanguies au bord du lagon. Les plages coralliennes sont bordées de forêts littorales plantées de filaos participant à l’érosion littorale. Elles sont fortement exposées au recul du trait de côte par l’érosion marine, éolienne et anthropique
Des stations balnéaires bien distinctes
- Le lagon et les forêts littorales.
- Les parcelles et villas privatisées en bord de mer.
- Les fronts de mer aménagés comme à Saint-Leu et Saint Gilles-les-Bains.
Les stations balnéaires se sont implantées à l’embouchure des ravines : Boucan Canot, Grand-Fond et Saint-Gilles-les Bains, chacune portant le nom de sa ravine.
En amont du littoral, les pentes des stations balnéaires sont mitées par une urbanisation dense marquée par l’impact des lotissements (coteaux de Saint-Gilles-Les-Bains, pentes amont de La Saline). Ce phénomène fragilise le lagon et les zones humides en amont.
Ces stations balnéaires ne laissent guère de place à la « nature » et effacent les ravines pourtant nombreuses et essentielles dans ces zones soumises à inondation.
Des sites de nature littoraux rares et d’intérêt
Le Cap La Houssaye, un paysage unique dans l’Ouest mais aussi dans l’île
La côte de Piton Saint-Leu, une côte sauvage bordée de pentes douces
Des pentes plutôt douces s’achevant en petites falaises basaltiques sombres battues par les flots. Les « souffleurs » font une part de l’attraction touristique de cette côte. Quelques plages de sable interrompent le linéaire rocheux (Bois de Nèfles, Piton/Bois Blanc). Le site le plus connu de la côte est la Pointe au Sel, qui accueille des salines remises en état depuis quelques années. Seule persiste, la vaste étendue de savane sèche reliant le musée Stella Matutina au musée du Sel, qui revêt un caractère remarquable.
Les pentes entre l’ancienne RN1 et la Route des Tamarins, autrefois couvertes de savane, sont progressivement mises en culture. Les parcelles de cannes récentes dessinent au droit de Piton Saint Leu, un carroyage lisible.
Vers les Avirons, la savane sèche moins continue est ponctuée de hameaux. Dans ce secteur, le paysage ouvert rejoint visuellement les pentes intermédiaires formant un rare paysage de pentes littorales homogènes.
Dans le secteur de Bois de Nèfles (quartier de Piton Saint Leu), à l’aplomb de la tranchée couverte de la Route des Tamarins, l’étalement urbain a franchi la limite de la route des Tamarins menaçant l’intégrité de ces paysages littoraux.
Les savanes qui occupaient les pentes littorales sont remplacées par des terres à cannes. Le carroyage des cultures s’est effacé des parcelles agricoles par l’enlèvement des andains, afin de fournir les matériaux dans le cadre de la NRL.
Une côte urbanisée quasi continue
La Pointe des Aigrettes, de Boucan Canot à Saint-Gilles au paysage agricole vallonné
À l’amont de l’urbanisation côtière des stations de Boucan Canot et de Saint-Gilles, le paysage agricole de Grand Fond s’étale au cœur d’un relief vallonné. Peu perceptible depuis la route (RD 10), ce micro-paysage de cultures diversifiées dominées par les fruitiers présente des ambiances remarquables et fraiches contrastant avec l’aridité du littoral.
La plaine littorale de l’Hermitage / la-Saline-les-Bains ancienne lagune étirée en longueur, protégée par la barrière de corail
L’urbanisation de l’Hermitage-les-Bains et la Saline-les-Bains s’est généreusement étalée sur la flèche sableuse afin de bénéficier du plan d’eau du lagon. Les portions d’arrière-plage, plantées au XIXᵉ siècle de filaos pour fixer les sables, forment de rares lisières non urbanisées permettant l’accès facilitées à la plage.
En amont, au pied de la corniche, les eaux de ruissellement des ravines de l’Hermitage et de la Saline ont formé une étroite bande humide, inondable où s’implantent quelques équipements : station d’épuration, Jardin d’Eden. Des aménagements récents de prévention des risques d’inondation ont été réalisés dans ce secteur fortement exposé.
Ces zones humides sont d’ailleurs favorables à l’implantation d’habitats et d’oiseaux d’eau typiques comme les hérons et profitent au passage de limicoles souvent observables en bord de plage.
Le littoral rocheux de la Pointe de Trois-Bassins à la Pointe des Châteaux
Le littoral urbain de la baie de Saint-Leu, replat au pied des pentes
Un monde de longues pentes laniérées de ravines
Des pentes fortes et régulières
Les ravines, un réseau dense et contraignant
La route des Tamarins, forme un fil continu souligné par les ouvrages de franchissement des ravines. La facilité d’accès par la route renforce l’attractivité des bourgs des mi-pentes où se concentre une forte pression de développement : route Hubert-Delisle, La Saline-les-Hauts, Piton Saint-Leu…
Ces ravines préservent de rares reliques de végétation semi-sèche autrefois répandues sur ce secteur de l’Île. Par ailleurs, elles accueillent également des sites de nidification et couloirs de déplacement des oiseaux marins (paille en queue, puffin tropical), elles sont aussi un lieu de transit et de reproduction pour le Papangue, rapace endémique de l’île.
Des pentes intermédiaires caractérisées par un étagement fragilisé et une alternance des paysages
Un paysage des hauts dominé par l’étagement
L’étage des pâturages
L’étage de la forêt
L’étage des branles
Au-dessus de la forêt, vers 1 800 m et jusqu’au rebord des cirques de Mafate et de Cilaos (vers 2 000 – 2 900 m), le paysage des « branles » et des « ambavilles » se développe : branle vert, (Philippia montana), branle blanc (Stoebe passerinoides), ambavilles (Senecio hubertia, Phylica nitida). Ces formations basses ouvrent des vues immenses sur les hautes pentes de l’île. Elles ont tendance à être envahies par l’Ajonc d’Europe contre lequel lutte l’ONF.
Les incendies sont malheureusement fréquent dans cette zone, touchant la végétation naturelle forestière, ce qui a fragilisé et appauvri certains secteurs du massif forestier des hauts de l’Ouest. Plusieurs ouvrages DFCI (Défense des Forêts Contre les Incendies) sont mis en place (citerne, lisière coupe-feu…) pour sécuriser les sites.
Enjeux et préconisations
Enjeux et préconisations
de préservation et de mise en valeur
Les grands paysages agricoles préservés de l'urbanisation
- Préservation des grandes entités cultivées.
- Encouragement aux techniques culturales anti-érosives auprès des agriculteurs, dans les chartes agricoles communales : parcelles bordées d'andains, haies protectrice, arbres et talus…
- Utilisation d'essences d'accompagnement non problématique pour les milieux naturels, et gestion des espaces limitant la prolifération d'espèces exotiques envahissantes (cas du mimosa et de l'Ajonc d'Europe). Suivi des cultures irriguées nouvellement installées et des grands travaux de terrassement pour la mise en culture de parcelles de savane. Trois Bassins, Saint-Leu, La Saline.
Les espaces agricoles sous forte pression de l'urbanisation
- Zones agricoles au contact des zones urbaines : maîtrise de l'extension des zones d'activité et des zones d'habitat.
- Création de lisières urbaines, espaces tampons plantés entre l'urbanisation et l'espace agricole (voir le schéma intercommunal d'aménagement des lisières urbaines", TCO 2009.)
Les paysages agricoles diversifiés (cultures maraichères, pâturages, vergers…)
- Poursuite de la valorisation économico-touristique.
- Développement de l'agro-tourisme, valorisation culturelle.
- Valorisation paysagère et environnementale des espaces agricoles par la plantation de structures végétales : essences silhouettes, structures bocagères de protection contre l'érosion...
- Dans les hauts : diversification des cultures à La Saline, Villèle.
- Vergers, vers la route du Théâtre.
- Le paysage sylvo pastoral, les équipements et bâtiments agricoles nouveaux et les équipements touristiques nouveaux (gîtes, etc.) : réalisation d'une charte architecturale et paysagère, appel à des hommes de l'art (architectes, paysagistes, écologues).
- Les points de vue : revalorisation paysagère de l'accueil du public (stationnements...).
- La gestion environnementale de l'élevage permet d’éviter la divagation du bétail en milieu naturel.
- Gestion des zones pâturées limitant la prolifération d'espèces exotiques comme l'Ajonc d'Europe, préservation des ravines et cours d'eau et d'une structure bocagère permettant à la faune de se déplacer et limitant l'érosion…
- Le manque d'espace de prairie pour les éleveurs, divagation des « vaches sans terre » et des cabris.
Les paysages agricoles ou naturels littoraux (côtes rocheuses, plage, savanes, forêt littorale)
- Poursuite de la protection contre la dégradation des sites littoraux face à la sur-fréquentation, à l’urbanisation en arrière-plage et à la dégradation du récif corallien.
- Restauration par des aménagements respectueux des sites et en sensibilisant la population.
- Réhabilitation des forêts et formations littorales indigènes pour leur rôle de protection du littoral et de préservation des milieux et du lagon.
- Aménagement des sites dans une optique naturelle : recul des stationnements et des circulations, pratiques douces à privilégier, limitation de la sur-fréquentation.
- Coupure urbaine à la passe de l'Hermitage.
- L'espace de respiration fragile entre lotissement Bellevue et la Souris chaude.
- L'espace de respiration fragile entre Grande Ravine et Pointe des Châteaux.
- Limiter l’imperméabilisation et l’aménagement (urbanisation, parking...) de l’arrière-plage, permettant une remobilisation du transport solide (sable).
- Promouvoir l’enlèvement des bâtiments construits et/ou présents sur le littoral de manière illégale (dans les 50 pas géométriques).
- Préservation et gestion des sites identifiés d'intérêt patrimonial pour la flore littorale (Pointe au sel, Ravine du Trou, partie Nord de la Pointe au Sel, littoral de Souris Chaude...), intégrant notamment la stratégie d’acquisition du Conservatoire du Littoral.
- Préservation de la savane littorale et projet de valorisation du milieu par des sentiers et des lisières urbaines, projets agro-touristiques de maintien de l'élevage.
- Projets du Conservatoire du Littoral et des objectifs de valorisation de la savane du Cap La Houssaye.
Le patrimoine architectural urbain
- Identification, cartographie et protection (aux PLU), soutien à la gestion et à la rénovation, développement de la sensibilité au patrimoine culturel architectural, paysager et urbain.
- Affirmer la mise en valeur du petit patrimoine sur le littoral (Four à Chaux, traces de l'ancien CFR….).
- Le canal Bruniquel en amont du littoral.
- Le patrimoine bâti des villes littorales : les Salines, centre-ville de Saint-Leu, Bruniquel (La Saline…).
- Les cimetières Marins : Saint-Paul, Saint-Leu.
- Les usines.
Les routes paysages (ouvertures visuelles sur le grand paysage)
- Protection contre l'urbanisation linéaire. Identification (aux PLU) et préservation des coupures d'urbanisation, espaces de respiration, valorisation des ouvertures sur le grand paysage.
- Identification (aux PLU) des points de vue et valorisation paysagère (marquage par la plantation d'arbres -signaux, point de stationnement, le cas échéant aménagement touristique, culturel, pédagogique...). Cela concerne en particulier les voies des hauts :
- La route paysage RD6 entre l'Hermitage et Villèle, entre Villèle et La Saline : beaux points de vue et alignement de flamboyants, entre La Saline et Trois Bassin.
- La route du Maido.
- La route-paysage RD10 entre Grand Fond et l'Éperon.
- La route-paysage RD9, Montée Panon qui monte vers Trois-Bassins.
- La route-paysage RD12 qui monte vers Colimaçon.
- La RN1 entre lotissement Bellevue et la Souris Chaude.
- La route paysage RD101 entre Saint-Gilles-les-Hauts et Bras Canot.
- La Route paysage Hubert-Delisle pour les sections ouvertes sur le grand paysage et les passages en franchissement de ravines.
- La route paysage RD4 – chemin de ligne.
- La route paysage RD3 – entre Bois de Nèfles et Bac rouge.
- La RN1 au sud de Saint-Leu, sur la côte des Souffleurs.
Enjeux et préconisations
de réhabilitation et de création
Les points de vue panoramiques et liaisons douces peu valorisées
- Protection contre l'urbanisation.
- Valorisation paysagère et environnementale par l'aménagement de points de vue, préservation et renforcement des structures végétales d'accompagnement des espaces cultivés et de protection contre l'érosion, renouvellement des forêts de cryptomérias par des boisements d'indigènes et /ou par des pâtures bocagères.
- Développer le réseau des chemins VTT et équestres vers l'aval jusqu'au littoral (du sommet des Montagnes au battant des Lames…).
Les ravines artificialisées (ouvrages bétonnés) ou délaissées et peu qualitatives
- Rebords de ravine : protection contre l'urbanisation (mise à distance), création de points de vue, espaces de proximité et création de liaisons intégrées (sans éclairage) hauts-bas (voir schéma intercommunal de valorisation des bords de ravines, TCO 2010).
- Embouchure des ravines : valorisation et reconquête des embouchures de ravine sur le littoral.
Les rebords de ravines urbanisés et non accessibles
- Ravines en zones urbaines : identification au PLU d'emprise permettant la reconquête des bords de ravines en zone urbaine, cheminements doux, aménagement de berges…
Les paysages littoraux peu valorisés ou dégradés
Les voies d'accès et accueils des sites de nature
- Poursuite des aménagements entrepris : création de sentier littoral, recul des stationnements, résorption des points noirs, renaturation.
- Les forêts littorales formées des plages et arrières plages : restauration des plantations, lutte contre l'érosion littorale, renaturation et protection du milieu (lagon et des récifs coralliens) et une valorisation douce de ces lieux fréquentés en lien avec le sentier littoral et la restauration d'espace favorable à la ponte des tortues marines (après la Pointe au sel notamment).
- Réhabilitation des routes d'accès aux grands sites par une intervention de valorisation architecturale et paysagère des structures d'accueil du public jalonnant la voie (ancienne exploitation à géranium), de l'habitat nouveau, route thématique valorisant l'étagement végétal des points de vue de la signalétique.
- Réhabilitation des routes d'accès aux grands sites par une intervention de valorisation architecturale et paysagère des structures d'accueil du public jalonnant la voie (ancienne exploitation à géranium), de l'habitat nouveau, route thématique valorisant l'étagement végétal des points de vue de la signalétique.
- Réflexion en cours pour une approche de type Grand Site : (PNR, Département, ONF, Saint-Paul…).
- Mise en scène existante de la voie d'accès sur plusieurs kilomètres.
- Meilleure valorisation de la planèze du Maido par recul du stationnement.
- Accueil du public au sommet du Maido (intégration paysagère des stationnements, qualité des cheminements piétonniers…).
- Maitriser la qualité paysagère et architecturale des édicules techniques autour de la route du Maido (bassins de rétention, postes électriques, antennes de téléphonie…).
- Offrir un nouveau point de vue sur le cirque de Cilaos complémentaire à celui du Maido sur Mafate.
Valorisation du Grand Bénare
Paysage aride longeant le rempart du Maido, présentant durant le sentier de belles vues sur Mafate.
- Poursuivre la lutte contre les espèces exotiques envahissantes et prévenir de nouvelles introductions/proliférations.
- Préserver du feu les forêts sensibles par la gestion de la fréquentation et des activités et le développement d'équipements de stratégies de lutte.
Les zones industrielles et commerciales peu attractives
- Réhabilitation des zones industrielles trop denses et dégradantes pour l'environnement.
- Prescription et mise en œuvre d'une meilleure prise en compte du paysage dans les grands projets de zones industrielles et commerciales : cahier des charges ambitieux avec intégration paysagère, espaces tampons perméables, plantations (bassins, noues, haies, arbres…).
Les limites non traitées entre les villes et l’espace agricole
- Accueil du public en amont du littoral permettant d'équilibrer la fréquentation excessive de la côte. Les lisières agro-urbaines permettent d'offrir des espaces de détente en amont des zones urbaines sur le littoral et en aval des bourgs sur les mi-pente : espaces de proximité, des cheminements doux.
- Préservation des espaces « de respiration » entre les bourgs…
- Maintien de distances critiques minimales entre les bourgs : phénomène très marqué dans les bourgs des hauts le long de la Route Hubert-Delisle notamment.
- Conserver des « coupures » entre les noyaux urbains des mi-pentes en valorisant le patrimoine agricole : espaces de respiration fragiles entre le Barrage et la Saline, l'Hermitage et Villèle, Villèle et Saint-Gilles-les-Hauts, Colimaçons et Bras Mouton etc.
- Créer des lisières formant des limites aux villes de façon à conserver les transitions agricoles.
Les formes urbaines et architecturales non adaptées au contexte existant
- Maîtrise qualitative de l'habitat (architecture et paysage), encouragement à des dispositions architecturales et paysagères plus douces et plus durables.
Les centralités urbaines non affirmées
- Identification et soutien à la requalification architecturale et/ou végétale des points noirs bâtis.
- Les gites ou structures d'accueil du public
- L'habitat et les constructions spontanées
- Structuration des bourgs des hauts, confortement des centralités : cristallisation du développement, des commerces et des services, maillage des quartiers et opérations nouvelles par circulations douces, création de lisières agro-urbaines plantées aux marges des opérations, clarifiant les vocations des sols.
- Projet de restructuration de La Saline-les-Hauts
- Centralité de la Saline-les-Bains
- Centralité peu affirmée à la Souris chaude
- Des centralités peu affirmées de Stella, Grand Fond, Piton Saint-Leu et le Plate etc… Limitation de l'étalement urbain sur le littoral
- Maitriser le développement urbain des pentes en amont du littoral : densification de l'habitat, ligne d'altitude maximale de construction à définir au PLU
Les espaces agricoles mités par l’urbanisation diffuse
- Arrêt de l'urbanisation diffuse. Revalorisation architecturale et paysagère du mitage existantArrêt de l'urbanisation diffuse. Revalorisation architecturale et paysagère du mitage existant